Les bienfaits des oméga 3, ces acides gras qui nous veulent du bien….

Les bienfaits oméga 3 ont fait l’objet de très nombreuses études par les communautés scientifique et médicale ayant démontré leur intérêt nutritionnel particulier, au-delà de leur nécessité au bon fonctionnement du corps humain. Ils détiennent même probablement un record en la matière, puisque plus de 43 000 études ont été publiées et répertoriées à leur sujet ! [1]

Les bienfaits oméga 3 participent au bon fonctionnement du système cardiovasculaire [2,3,4]

Les oméga 3 ont montré un rôle contributeur dans le maintien d’une tension, de paramètres lipidiques (triglycérides), d’un état des artères et vaisseaux et d’un rythme cardiaque normaux, et donc d’un fonctionnement normal du système cardiovasculaire. Leur contribution a également été démontrée dans la prévention face à la survenue de maladies cardiovasculaires. Récemment, un article de revue suggère que la supplémentation en oméga 3 a des effets protecteurs sur les paramètres du diabète.

Les bienfaits oméga 3 contribuent au bon fonctionnement de nos fonctions cognitives et à la prévention des troubles mentaux [5,6]

 

La matière sèche du cerveau est composée de près de 60% de matières grasses, principalement des lipides. Parmi ces matières grasses, 20% sont des oméga 3 et notamment le DHA. Les oméga 3 sont donc essentiels au bon fonctionnement cérébral et cognitif . Les oméga 3 peuvent également aider à résoudre des troubles du comportement chez les enfants.

Les oméga 3 contribuent à la bonne santé oculaire et au maintien d’une vision normale [7]

Les oméga 3 ont un important rôle structurel dans nos yeux.
La rétine est particulièrement riche en acides gras à longue chaîne.
Le DHA peut constituer jusqu’à 50% de la teneur en acides gras de ce tissu, ce qui suggère sa forte implication dans les fonctions visuelles. La vision serait d’ailleurs impossible sans la présence de DHA. Une bonne consommation d’oméga 3 contribue à diminuer le risque de dégénérescence maculaire liée à l’âge (DMLA), une maladie dégénérative de la rétine qui altère la vision.

Une réduction jusqu’à 68% des risques de DMLA

En 2013, l’étude NAT2[8] menée sur 300 patients pendant 3 ans a démontré qu’une supplémentation orale en DHA permet une réduction jusqu’à 68% des risques de développement de DMLA.
D’après une étude publiée dans l’American Journal of Clinical Nutrition[9], les individus qui consomment habituellement des poissons huileux ou qui consomment 300 mg de DHA et d’EPA ont une réduction des risques de 38% de développer une DMLA néovasculaire. Les oméga 3 peuvent également avoir un effet bénéfique en cas de glaucome ou de rétinopathie.[10]

Les oméga 3, leurs bienfaits nous aident à lutter contre l’anxiété et la dépression

 

Étant donné leur importance dans les fonctions cérébrales et cognitives, les oméga 3 interviennent dans les mécanismes liés à l’anxiété et la dépression. Les personnes faisant face à une dépression présentent généralement des taux sanguins d’oméga 3 relativement bas. Une étude menée en 2007 a permis de démontrer l’efficacité d’une supplémentation en oméga 3 contre la dépression. [11]

Les oméga 3 aident à lutter contre l’inflammation [12]

 

Les oméga 3 disposent de propriétés anti-inflammatoires importantes pouvant aider à réduire les effets de l’inflammation. Ils limitent la production de cytokines et sont ainsi efficaces contre les douleurs, et les raideurs matinales notamment. Les acides gras polyinsaturés sont aussi utiles dans la prévention et le traitement de l’arthrose.

Les oméga 3 contribuent au bon développement du fœtus pendant la grossesse

 

Durant la grossesse, les besoins nutritionnels de la femme enceinte augmentent considérablement puisqu’elle doit apporter les nutriments dont l’enfant a besoin en plus d’assurer ses propres besoins.
Parmi les éléments indispensables, il y a les oméga 3 qui jouent un double rôle pour le développement du bébé mais également pour le bien-être de la maman.
Les bienfaits oméga 3 (notamment le DHA) consommés par la mère contribuent au développement normal du cerveau du fœtus et de l’enfant allaité, ainsi qu’au développement normal de la vue du nourrisson jusqu’à 12 mois.[5] Pour la maman, les oméga 3, grâce à leur action sur la sphère neurologique, sont un moyen naturel pour lutter contre le babyblues ou encore la dépression post-partum.

Outre ces bienfaits démontrés, les acides gras pourraient également améliorer la fonction hépatique en limitant le stockage des graisses. Ils aideraient à la perte de poids en privilégiant le développement des muscles ainsi que l’élimination des graisses. Ils auraient également la capacité de nourrir notre peau afin de la maintenir en bonne santé au fil du temps. C’est dire s’ils doivent avoir une place de choix dans notre alimentation !

…. Mais nous manquent tellement !

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L’effet bénéfique pour notre santé n’est possible que si les oméga 3 sont en quantité suffisante par rapport aux oméga 6 (huiles végétales, céréales…).
Le rapport idéal recommandé par l’Agence Nationale de Santé (Anses) se situe entre 1/1 et 1/4.[13]
Mais les études nationales démontrent que nous sommes en déficit permanent : un rapport entre 1/10 et 1/30 en France !

…Pour expliquer ce déficit, revenons sur les sources d’oméga 3 dans notre alimentation.

Il existe 3 acides gras oméga 3 principaux : les acides eïcosapentaènoïque (EPA) et docosahexaénoïque (DHA), tous 2 des oméga 3 à longues chaînes, produits par l’organisme à partir de leur précurseur l’acide alpha-linolénique (ALA).
Bien que l’ALA soit facilement accessible dans notre alimentation, notamment via les huiles végétales, son taux de conversion en EPA et DHA reste très faible (environ 5% ALA en EPA et <0,5% ALA en DHA), ce qui ne permet pas de couvrir nos besoins et le bon fonctionnement des organes qu’ils composent comme le cerveau ou les yeux.
Il est donc indispensable de trouver d’autres sources indirectes de ces 2 oméga 3 primordiaux – le DHA joue un rôle particulièrement axé sur le cognitif. En lui associant l’EPA, des propriétés intéressantes sont également observées au niveau cardiovasculaire -, dont l’Anses recommande un apport de 500 mg par jour.

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La solution se trouve dans l’huile de poisson

Les poissons d’eaux froides se nourrissent principalement d’algues et de crustacés qui contiennent de grandes quantités d’acides gras oméga 3 ALA, EPA et DHA, ces acides gras indispensables à leur survie leur permettent de résister aux très basses températures.
Par ailleurs, à l’inverse de l’homme, les poissons d’eaux froides sont eux capables de réaliser la transformation de l’ALA en EPA et DHA. Une fois consommés par l’homme, ils deviennent alors une source intéressante d’EPA-DHA. Parce que, pour un bon équilibre alimentaire, il est difficile d’en consommer chaque jour, une supplémentation en huile de poisson est alors une bonne alternative. Toutefois il faut faire attention à la pollution des mers et des océans, ainsi qu’à la pêche intensive qui dévastent les écosystèmes marins.

Novalmega, un complément alimentaire d’origine marine labellisé

Pour vous apporter une complémentation optimale, notre laboratoire a choisi la meilleure qualité d’huiles disponibles actuellement sur le marché : les huiles labellisées Epax®, protégées de l’oxydation par le procédé X.O.
Epax® est un label permettant d’avoir des concentrés d’oméga 3 marins d’une grande pureté et d’une qualité haut de gamme. Pour être sûrs de consommer une huile de bonne qualité, respectueuse de l’environnement, il est important de se fier à des labels de qualité, comme Epax®.
Les huiles Epax® sont extraites de petits poissons d’eaux froides selon des procédés de pêche responsables et respectueux des écosystèmes (écoresponsables), certifiés par l’organisme Friend of the Sea®. Epax® garantie l’absence de niveau détectable de rayonnement dans ses huiles brutes, qui sont également garanties sans OGM.

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Le label Epax® garantit un respect des méthodes de pêche et une durabilité des écosystèmes, grâce à la certification Friend of the Sea® des huiles :

  • Elles sont obtenues à partir de poissons sauvages,
  • La méthode de pêche respecte les exigences éco-responsables,
  • Les zones de pêche se trouvent dans les endroits de la planète ayant de faibles taux de polluants environnementaux.

Les huiles Epax® sont également certifiées IFFO RS (norme mondiale pour l’approvisionnement responsable) pour aider à protéger les océans et mers de notre planète.

Pour assurer une pureté élevée et une richesse en oméga 3, les huiles Epax® sont purifiées à partir des huiles brutes par distillation moléculaire à vide élevé et subissent un traitement enzymatique doux afin de réduire la présence d’agents oxydatifs.

Un procédé X.O complémentaire a également été employé pour stabiliser la qualité de l’huile dans le produit et assurer la conservation des acides gras jusqu’à leur libération dans l’organisme. Il permet de :

  • Supprimer les éventuels polluants et les métaux lourds restants dans les huiles,
  • Éviter l’oxydation des huiles,
  • Protéger la qualité des actifs grâce à des températures douces utilisées durant tout le process.
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De plus, les huiles de poisson étant extrêmement sensibles à l’oxygène et devenant toxiques une fois oxydées, Novalmega est formulé sous forme de capsules molles de gélatine marine qui permettent de protéger les oméga 3 de l’oxydation. Novalmega présente ainsi un indice TOTOX d’à peine 3 sachant que la limite maximale admissible, établie par l’« Organisation mondiale pour les oméga 3 d’EPA et de DHA » est de 26.

Novalmega : un apport en oméga 3 optimisé

L’innovation Novalmega, élaborée à base d’huile de poissons sauvages de mers ou courants froids certifiée Epax® , vous apporte une supplémentation en oméga 3 de qualité supérieure. Elle permet de rééquilibrer la balance entre oméga 3 et oméga 6.

Spécialement conçu par les experts Novalturel, Novalmega vous apporte de fortes teneurs en EPA (400 mg) et DHA (300 mg) au quotidien sous forme de triglycérides pour rétablir votre apport journalier en oméga 3. Les triglycérides sont la forme naturelle des graisses ce qui leur confère une meilleure biodisponibilité. Une complémentation en oméga 3 sous forme de triglycérides permet en effet un enrichissement en oméga 3 des membranes des globules rouges plus important et plus rapide, par rapport à la forme esters éthyliques.[14]

La formule est enrichie avec un mélange en vitamine E et un extrait de romarin bio pour un effet antioxydant complémentaire puissant.
Le produit est 100% naturel, garanti sans conservateurs, sans goût ni odeur, grâce aux procédés employés pour l’extraction des huiles.

Les oméga 3, c’est quoi ?

Les oméga 3 sont des acides gras, parmi les constituants principaux des lipides. Bien que souvent décriés, ces lipides sont pourtant indispensables à notre bonne santé. Ils permettent non seulement de stocker de l’énergie à utiliser en cas d’efforts, mais ils ont aussi un rôle structural majeur, en tant que composant, dans la fluidité des membranes de nos cellules. N’oublions pas que le cerveau est composé en grande majorité d’acides gras dont une grande partie d’oméga 3 !

En chimie, les acides gras sont des molécules formées de chaines de carbones liés à des
hydrogènes et se terminant par un groupement acide. Ils sont ainsi répartis en 3 groupes
définis en fonction de leur structure chimique, c’est-à-dire le nombre de double-liaison(s)
dont ils sont composés :

  • les acides gras saturés (aucune double liaison)
  • les acides gras monoinsaturés (une double liaison)
  • les acides gras polyinsaturés (plusieurs doubles liaisons)

Les oméga 3, comme les oméga 6, appartiennent à la famille des acides gras polyinsaturés, ce qui leur confère une bonne fluidité et les rend plus facilement mobilisables par le corps.

Enfin, les oméga 3 sont des acides gras dits essentiels, c’est-à-dire qu’ils sont indispensables mais que l’organisme n’est pas capable de les fabriquer seul : ils doivent donc être fournis par notre alimentation.

Sources sur les bienfaits omega 3 :

[1] NCBI : https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/?term=omega%203

[2] Colussi, G.; Catena, C.; Baroselli, S.; Nadalini, E.; Lapenna, R.; Chiuch, A.; Sechi, L. Omega 3 Fatty Acids: from Biochemistry to their Clinical Use in the Prevention of Cardiovascular Disease. Recent Patents Cardiovasc. Drug Discov. 2007, 2, 13–21.

[3] Weylandt, K.H.; Serini, S.; Chen, Y.Q.; Su, H.-M.; Lim, K.; Cittadini, A.; Calviello, G. Omega 3 Polyunsaturated Fatty Acids: The Way Forward in Times of Mixed Evidence. BioMed Res. Int. 2015, 2015, 1–24.

[4] Felipe Mendes Delpino et al. Omega-3 supplementation and diabetes: A systematic review and meta-analysis, Critical Reviews in Food Science and Nutrition. 2022. 62:16, 4435-4448

[5] Janssen, C.I.F.; Kiliaan, A.J. Long-chain polyunsaturated fatty acids (LCPUFA) from genesis to senescence: The influence of LCPUFA on neural development, aging, and neurodegeneration. Prog. Lipid Res. 2014, 53, 1–17.

[6] Cutuli, D. Functional and Structural Benefits Induced by Omega 3 Polyunsaturated Fatty Acids During Aging. Curr. Neuropharmacol. 2017, 15, 534–542.

[7] SanGiovanni JP, Parra-Cabrera S, Colditz GA, Berkey CS, Dwyer JT. Meta-analysis of dietary essential fatty acids and long-chain polyunsaturated fatty acids as they relate to visual resolution acuity in healthy preterm infants. Pediatrics. 2000;105(6):1292-1298.

[8] Souied, E.H. et al. (2013) “Oral docosahexaenoic acid in the prevention of exudative age-related macular degeneration,” Ophthalmology, 120(8), pp. 1619–1631.

[9] Chong EW-T, Kreis AJ, Wong TY, Simpson JA, Guymer RH. Dietary omega-3 fatty acid and fish intake in the primary prevention of age-related macular degeneration: a systematic review and meta-analysis. Arch Ophthalmol Chic Ill 1960. juin 2008;126(6):826 33.

[10] SanGiovanni JP, Chew EY. The role of omega 3 long-chain polyunsaturated fatty acids in health and disease of the retina. Prog Retin Eye Res. janv 2005;24(1):87 138.

[11] Raeder MB, Steen VM, Vollset SE, Bjelland I. Associations between cod liver oil use and symptoms of depression: the Hordaland Health Study. J Affect Disord. 2007;101(1-3):245-249.

[12] Calder PC, Grimble RF. Polyunsaturated fatty acids, inflammation and immunity. Eur J Clin Nutr. 2002;56 Suppl 3:S14-S19.

[13] Anses, Avis relatif à l’actualisation des apports nutritionnels conseillés pour les acides gras de l’Afssa, 1er mars 2010

[14] Neubronner, J., et al., Enhanced increase of omega 3 index in response to long-term n-3 fatty acid supplementation from triacylglycerides versus ethyl esters. Eur J Clin Nutr, 2011. 65(2): p. 247-54.