Le gluconate de cuivre, un élément clé pour le confort articulaire

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Le cuivre est indispensable à la vie d’un organisme. Il intervient dans plusieurs métabolismes, notamment celui du fer, mais aussi des glucides et des lipides. Constituant essentiel de nombreuses enzymes et cofacteur, le cuivre participe également à la fabrication de l’hémoglobine.
Il contribue au confort articulaire en soutenant la production de collagène et en protégeant les cellules contre le stress oxydatif(1). Ces fonctions en font un oligo-élément précieux pour le bien-être locomoteur et l’équilibre physiologique.

Le cuivre, un oligo-élément antioxydant

Le cuivre joue un rôle antioxydant important. Il participe à la protection des cellules contre le stress oxydatif, en neutralisant l’excès de radicaux libres(2). Ce mécanisme contribue à limiter les effets du vieillissement cellulaire.
De plus, le cuivre soutient la synthèse du collagène, une protéine essentielle à l’élasticité des tissus conjonctifs, y compris ceux impliqués dans la mobilité(3). Il participe ainsi au confort articulaire et au maintien de la souplesse des articulations.

Certaines études suggèrent également que le cuivre pourrait intervenir dans les processus de minéralisation osseuse, en favorisant une meilleure assimilation du calcium(4). Le cuivre joue aussi un rôle dans le bon fonctionnement du système immunitaire. Il participe à l’activité normale des globules blancs et soutient les défenses naturelles de l’organisme(5). Cet effet est particulièrement utile lors des changements de saison ou dans des périodes de fatigue passagère.

L’histoire antimicrobienne du cuivre

Un usage ancestral

Le cuivre est connu depuis l’Antiquité. Les civilisations égyptienne et grecque l’utilisaient pour ses propriétés de préservation, en particulier pour éviter la contamination. Dès le début du 19e siècle, son potentiel antimicrobien a été documenté scientifiquement. Aujourd’hui encore, plusieurs travaux étudient l’intérêt du cuivre pour limiter la prolifération microbienne sur les surfaces, notamment en milieu hospitalier(6).

Un métal précieux pour l’organisme

Le cuivre (Cu), de couleur rouge-brun, est un métal présent à l’état de traces dans notre organisme. Son numéro atomique est le 29 dans le tableau périodique des éléments. Il est classé parmi les oligo-éléments, car il est essentiel mais en quantité très faible. Non synthétisé par le corps, l’apport quotidien en cuivre est essentiel. Cela peut se faire par l’alimentation ou, si nécessaire, par une supplémentation.

Les sources en cuivre

Le cuivre est naturellement présent dans de nombreux aliments :

  • Sources animales : fruits de mer (crabe, huître, crevette, calamar), foie (veau, agneau).
  • Sources végétales : blé complet, pois chiches, haricots secs, arachides, artichauts.

Ces aliments permettent en général de couvrir les besoins journaliers, à condition d’avoir une alimentation variée.

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Etudes scientifiques autour du cuivre

Des études scientifiques se sont intéressées au rôle du cuivre dans la préservation de certaines fonctions physiologiques, notamment au niveau du squelette et des tissus conjonctifs.

Maintien de la densité osseuse

Une étude menée sur une période de deux ans auprès de femmes d’âge moyen en bonne santé a montré que la supplémentation en cuivre pourrait limiter la diminution de la densité minérale osseuse au fil du temps(7). Les participantes recevaient un apport quotidien en cuivre, sans modification de leur régime alimentaire ni d’activité physique. Ces résultats suggèrent que cet oligo-élément pourrait participer au maintien de la structure osseuse.

D’autres données indiquent que l’apport combiné en plusieurs oligo-éléments, dont le cuivre, serait associé à une meilleure densité osseuse, comparativement à des apports isolés en zinc, magnésium ou sélénium(8). Cela souligne le rôle complémentaire du cuivre dans les processus de minéralisation osseuse.

Soutien du métabolisme cartilagineux

Le cuivre intervient aussi dans la synthèse de certaines protéines structurales comme le collagène et l’élastine, essentielles à l’intégrité des tissus conjonctifs. Une revue scientifique a mis en évidence que le bon fonctionnement du cartilage dépend d’un apport régulier en micronutriments, notamment en glucose, vitamines, et oligo-éléments comme le cuivre(9). Ces éléments permettent de soutenir la structure du cartilage et sa souplesse naturelle.

Intérêt nutritionnel du cuivre en physiologie cardiovasculaire

Des recherches ont observé une convergence entre les caractéristiques biologiques d’animaux déficients en cuivre et certaines situations humaines marquées par des déséquilibres cardiovasculaires. Bien qu’aucun lien thérapeutique ne puisse être établi, ces observations renforcent l’intérêt d’un apport alimentaire équilibré en cuivre, notamment dans le cadre d’une alimentation variée(10).

Contre-indications et effets indésirables éventuels

Certains facteurs peuvent diminuer l’assimilation du cuivre, comme l’alcool, un excès de fer ou de zinc, ou certains traitements médicamenteux. Il est déconseillé d’entreprendre une supplémentation prolongée sans l’avis de votre médecin. Le respect de la posologie est essentiel pour éviter tout déséquilibre.

Synthèse de la littérature scientifique autour du cuivre :

La littérature scientifique suggère que le cuivre joue un rôle actif dans le maintien de la densité osseuse, en soutenant les processus de minéralisation(7)(8).
Certaines études mettent également en lumière son intérêt nutritionnel pour le métabolisme cardiovasculaire, en lien avec son action sur les enzymes

antioxydantes et le métabolisme lipidique(10).
Par ailleurs, la recherche souligne que le bon fonctionnement du cartilage articulaire dépend d’un apport régulier en nutriments essentiels, incluant des oligo-éléments comme le cuivre, qui participe à la synthèse du collagène et au maintien de la souplesse des tissus conjonctifs(9).

En résumé

Le gluconate de cuivre est un oligo-élément essentiel à de nombreuses fonctions biologiques. Il contribue à la protection des cellules contre le stress oxydatif(2), participe à la synthèse du collagène(3), soutient le confort articulaire(1) et favorise la minéralisation osseuse(4).
Il joue également un rôle important dans le bon fonctionnement du système immunitaire(5). Des études ont confirmé son intérêt pour le maintien de la densité osseuse et l’équilibre des tissus conjonctifs(7)(8)(9). Bien qu’il soit naturellement présent dans certains aliments, un apport complémentaire peut s’envisager sous contrôle professionnel en cas de besoin spécifique.

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Références scientifiques

  1. Rucker, R. B., Kosonen, T., Clegg, M. S., Uriu-Hare, J. Y., & Keen, C. L. (1998). Copper, lysyl oxidase, and extracellular matrix protein cross-linking. The American Journal of Clinical Nutrition, 67(5 Suppl), 996S–1002S. https://doi.org/10.1093/ajcn/67.5.996S
  2. Chen, L., Min, J., & Wang, F. (2022). Copper homeostasis and cuproptosis in health and disease. Signal Transduction and Targeted Therapy, 7, Article 378. https://doi.org/10.1038/s41392-022-01229-y
  3. Opsahl, W., Zeronian, H., Ellison, M., Lewis, D., Rucker, R. B., & Riggins, R. S. (1982). Role of copper in collagen cross-linking and its influence on selected mechanical properties of chick bone and tendon. The Journal of nutrition, 112(4), 708–716. https://doi.org/10.1093/jn/112.4.708
  4. Fan, Y., Ni, S., & Zhang, H. (2022). Associations of Copper Intake with Bone Mineral Density and Osteoporosis in Adults: Data from the National Health and Nutrition Examination Survey. Biological trace element research, 200(5), 2062–2068. https://doi.org/10.1007/s12011-021-02845-5
  5. Liu, Y., Zhu, J., Xu, L., Wang, B., Lin, W., & Luo, Y. (2022). Copper regulation of immune response and potential implications for treating orthopedic disorders. Frontiers in Molecular Biosciences, 9, Article 1065265. https://doi.org/10.3389/fmolb.2022.1065265
  6. Arendsen, L. P., Thakar, R., & Sultan, A. H. (2019). The Use of Copper as an Antimicrobial Agent in Health Care, Including Obstetrics and Gynecology. Clinical microbiology reviews, 32(4), e00125-18. https://doi.org/10.1128/CMR.00125-18
  7. Rondanelli, M., Faliva, M. A., Infantino, V., Gasparri, C., Iannello, G., Perna, S., Riva, A., Petrangolini, G., Tartara, A., & Peroni, G. (2021). Copper as Dietary Supplement for Bone Metabolism: A Review. Nutrients, 13(7), 2246. https://doi.org/10.3390/nu13072246
  8. Strause, L., Saltman, P., Smith, K. T., Bracker, M., & Andon, M. B. (1994). Spinal bone loss in postmenopausal women supplemented with calcium and trace minerals. The Journal of nutrition, 124(7), 1060–1064. https://doi.org/10.1093/jn/124.7.1060
  9. Goggs, R., Vaughan-Thomas, A., Clegg, P. D., Carter, S. D., Innes, J. F., Mobasheri, A., Shakibaei, M., Schwab, W., & Bondy, C. A. (2005). Nutraceutical therapies for degenerative joint diseases: a critical review. Critical reviews in food science and nutrition, 45(3), 145–164. https://doi.org/10.1080/10408690590956341
  10. Klevay L. M. (2000). Cardiovascular disease from copper deficiency–a history. The Journal of nutrition, 130(2S Suppl), 489S–492S. https://doi.org/10.1093/jn/130.2.489S