Les douleurs articulaires de l’arthrose

L’arthrose se définit par la dégénérescence du cartilage, qui va progresser à l’ensemble de l’articulation avec le temps. Les premiers symptômes apparaissent en général dès 50 ans dans la majorité des cas (ou dès 40 ans pour des personnes à risques).

Gênes et raideurs articulaires ainsi que des difficultés dans les mouvements sont les principaux symptômes ressentis au niveau des articulations portantes : colonne vertébrale, hanches, genoux, chevilles, pieds.

10 millions de personnes seraient touchées en France par cette pathologie, soit 17% des français. Ces chiffres pourraient même monter jusqu’à 22% d’ici 2030 selon la littérature scientifique.

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Quels sont les causes principales de l’arthrose ?

  • L’âge est la première cause. 65% des plus de 65 ans seraient touchés, selon l’INSERM.
  • La génétique est aussi une cause importante. Même si l’on ne connaît pas tous les mécanismes, cette pathologie serait héréditaire, notamment pour l’arthrose des mains.
  • Les traumatismes, notamment chez les sportifs ayant subi des chocs répétés (entorses, fractures…), sont plus exposés à l’arthrose. Sur le moyen ou le long terme, les blessures à répétition favorisent l’arthrose à un âge précoce.
  • Les actes chirurgicaux.
  • La dysbiose intestinale semble agir comme un phénomène qui peut accélérer la survenue de l’arthrose. Le déséquilibre du microbiote peut mener jusqu’à la dysbiose, un facteur pouvant être à l’origine d’une réponse auto-immune.

Les principaux facteurs de l’arthrose

Pour le reste de la population, les patients arthrosiques ont moins de 60 ans.
Ils ont souvent des métiers éprouvants : salariés dans l’industrie (BTP, usines…) ou l’artisanat… Le fait de porter des choses lourdes peut fragiliser les articulations et déclencher des douleurs arthrosiques. Les chutes, les chocs, les accidents du travail, les travaux répétitifs contribuent également à l’arthrose.

Certains facteurs aggravants existent, c’est le cas :

  • Des malformations, comme la scoliose pour le rachis ou l’hallux valgus pour les pieds.
  • De la surcharge pondérale qui est un facteur de risque car elle va exercer une pression excessive sur les cartilages.
  • Des maladies métaboliques ou articulaires (comme la polyarthrite rhumatoïde) qui favorisent également l’arthrose.
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Diagnostic de l’arthrose

Pour établir un diagnostic, deux outils sont nécessaires :
L’examen clinique : il permet au professionnel de santé de connaître les symptômes du patient.
La radiographie : elle permet de réaliser un diagnostic en analysant l’état physiologique de l’articulation.

La présence de ces 2 critères est indispensable pour valider un diagnostic.
On dit que l’on souffre d’arthrose quand l’articulation est douloureuse ET que les signes radiologiques sont présents.

Il n’y a pas de parallélisme entre les signes cliniques et la radiologie. En effet, il est possible d’avoir des radios avec des signes d’arthrose et ne pas en souffrir. L’inverse existe aussi.

Prise en charge de l’arthrose

Pour la prise en charge de l’arthrose, l’intervention chirurgicale reste le traitement final, à envisager selon l’intensité de la douleur et l’âge du patient.
La durée de vie des prothèses et les facteurs de risques sont à prendre en compte.

Toutefois, l’idéal est d’éviter ces interventions et pour cela des alternatives, notamment naturelles, existent.

Les recommandations hygiénodiététiques

Dans un premier temps, la mise au repos de l’articulation douloureuse est nécessaire.
Dans certains cas, la perte de poids est aussi intéressante pour soulager les articulations. Cela permet de retarder l’utilisation d’AINS et la chirurgie.

Dans un second temps, il est conseillé de stimuler doucement le cartilage par une activité physique appropriée.

Les traitements médicamenteux

En cas de poussées inflammatoires, on recommande, dans un premier temps, la prise d’antalgiques (paracétamol), d’AINS (diclophénac) ou d’antiarthrosiques à action lente (à tous les stades).

Pour renforcer le traitement dans un deuxième temps, l’acide hyaluronique et les infiltrations de corticoïdes sont des options.

Les alternatives naturelles

Les traitements médicamenteux sont certes efficaces pour soulager la douleur liée à l’arthrose mais ils présentent des contraintes non négligeables.

Certains patients ont des contre-indications formelles à l’utilisation des traitements chimiques (hernies, gastrites, ulcères, prise d’anticoagulants pour les cardiaques…);
D’autres ne supportent pas les AINS (troubles digestifs) ou sont obligés de prendre des protecteurs gastriques en association (alourdissement du protocole avec risque de baisse de l’observance).

Face à cela, les alternatives naturelles sont une solution de choix.

La kinésithérapie et les cures thermales (applications de boues) peuvent être utiles pour soulager les symptômes de l’arthrose.

Des solutions naturelles efficaces existent pour les premiers stades de l’arthrose comme celle du laboratoire Novalturel (novalflex, novalfen) grâce à l’association de nombreux ingrédients naturels actifs sur la sphère articulaire.

Des anti-arthrosiques naturels à action lente, vont permettre de retarder l’utilisation de traitements plus contraignants ou invasifs.

Des programmes pour rééquilibrer l’intestin et son microbiote peuvent être des solutions complémentaires pour lutter contre l’arthrose.

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Un programme anti-arthrosique naturel

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Le laboratoire Novalturel a mis au point une formule naturelle innovante avec trois actifs liposomés pour favoriser la biodisponibilité des actifs.

Le novalflex est intéressant à préconiser en première intention ou en traitement de fond pour les premiers stades de l’arthrose.

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Novalturel a développé un concentré d’antalgiques et d’anti-inflammatoires naturels liposomés complémentaire à l’action du novalflex en traitement d’attaque : le novalfen.

Cette association permet de mieux gérer les douleurs articulaires et de diminuer la prise d’antalgiques classiques (paracétamol, ibuprofène).

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Quand et comment recommander le programme ?

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Programme articulaire à effectuer au moins 2 à 3 fois par an ou en continu.

Dès l’apparition d’un stade léger à modéré de l’arthrose ou d’autres symptômes inflammatoires et douleurs articulaires.

TRAITEMENT D’ATTAQUE pendant 1 mois
novalfen : 1 gélule matin, midi et soir pendant 1 semaine à 10 jours (15 jours en cas de douleurs intenses)
+ novalflex : 2 gélules / jour

TRAITEMENT D’ENTRETIEN pendant 2 mois à renouveler
novalflex : 2 gélules / jour

Le curcuma possède des propriétés anticoagulantes, il convient d’être vigilant en cas de prise simultanée d’anticoagulants et d’être suivi par un professionnel de santé.

Nos utilisateurs en parlent…

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Intestin & arthrose

Récemment, des scientifiques ont démontré que notre microbiote pourrait également être un facteur influent. Plusieurs articles décrivent bien la relation entre microbiote et inflammation.

Le déséquilibre du microbiote peut mener jusqu’à la dysbiose, un facteur pouvant être à l’origine d’une réponse auto-immune :
Expression modulée des molécules inflammatoires (lymphocytes, cytokines),
Voie de pathogenèse de la polyarthrite rhumatoïde (PR),

La dysbiose intestinale semble donc agir comme un phénomène qui peut jouer un rôle dans l’arthrose. Une étude révèle le rôle de la barrière intestinale (et en particulier la zonuline, un puissant régulateur des jonctions épithéliales serrées), dans la survenue de l’arthrose.

Une approche préventive consisterait donc à rééquilibrer l’intestin pour lutter indirectement contre l’arthrose. Un suivi des études dans les années à venir sera primordial pour une compréhension encore plus fine de la relation entre microbiote et arthrose.