La prêle des champs : sa richesse en silice pour une action cutanée

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Reminéralisant et cicatrisant naturel : la prêle des champs

La prêle des champs, encore connu sous « queue de rat » ou « queue de cheval » à cause de sa forme originale, est une plante qui possède de nombreuses propriétés et vertus intéressantes.

Sa composition y est pour beaucoup. En effet, elle contient environ 5 à 8% de silice organique mais aussi des composants comme :

  • La vitamine C,
  • Des flavonoïdes ou des tanins naturels,
  • Ou encore du potassium et du calcium.

Une action reminéralisante

L’une de ses actions les plus connues en phytothérapie se passe au niveau osseux. En effet, tout comme le bambou, la prêle est très riche en silice.

L’apport de silice permet une meilleure assimilation et fixation du calcium au niveau des os. Son action reminéralisante est donc bien connue et permet de prévenir les problèmes d’ostéoporose. Elle permet aussi de protéger le cartilage, intéressant pour prévenir les premiers signes d’arthrose.

Une fonction contre les troubles urinaires simples

Il faut savoir que la prêle contient des molécules, comme les flavonoïdes qui ont une fonction diurétique. En augmentant les mictions, la prêle permet ainsi de mieux vidanger la vessie. Cela permet de prévenir certains calculs urinaires ou cystites, en association avec de la canneberge par exemple. Ses actions antiseptiques et anti-inflammatoires aident à lutter contre ces troubles.

Un actif beauté connu

La silice présente dans la prêle permet également de synthétiser le collagène, un élément essentiel pour soutenir la peau ou renforcer les cheveux (voire prévenir leur chute selon certaines études). Cet actif est donc intéressant pour lutter contre les ongles fragiles ou encore les cheveux cassants.

Les propriétés d’un cicatrisant naturel

L’une des fonctions les moins connues de la prêle, mais l’une des plus intéressantes, est son action au niveau cutané, notamment en cas de blessures superficielles (irritations, petites plaies) ou de traumatismes bénins.

La prêle va avoir une double action :

  • Anti-inflammatoire au niveau des zones impactées,
  • Grâce à son principe actif (la silice), elle va stimuler la synthèse de collagène et donc agir sur la réparation des tissus.

L’utilisation de cette plante aidera donc à la cicatrisation et à la régénération de la peau.

Une action reminéralisante

L’une de ses actions les plus connues en phytothérapie se passe au niveau osseux. En effet, tout comme le bambou, la prêle est très riche en silice.

L’apport de silice permet une meilleure assimilation et fixation du calcium au niveau des os. Son action reminéralisante est donc bien connue et permet de prévenir les problèmes d’ostéoporose. Elle permet aussi de protéger le cartilage, intéressant pour prévenir les premiers signes d’arthrose.

Une fonction contre les troubles urinaires simples

Il faut savoir que la prêle contient des molécules, comme les flavonoïdes qui ont une fonction diurétique. En augmentant les mictions, la prêle permet ainsi de mieux vidanger la vessie. Cela permet de prévenir certains calculs urinaires ou cystites, en association avec de la canneberge par exemple. Ses actions antiseptiques et anti-inflammatoires aident à lutter contre ces troubles.

Un actif beauté connu

La silice présente dans la prêle permet également de synthétiser le collagène, un élément essentiel pour soutenir la peau ou renforcer les cheveux (voire prévenir leur chute selon certaines études). Cet actif est donc intéressant pour lutter contre les ongles fragiles ou encore les cheveux cassants.

Les propriétés d’un cicatrisant naturel

L’une des fonctions les moins connues de la prêle, mais l’une des plus intéressantes, est son action au niveau cutané, notamment en cas de blessures superficielles (irritations, petites plaies) ou de traumatismes bénins.

La prêle va avoir une double action :

  • Anti-inflammatoire au niveau des zones impactées,
  • Grâce à son principe actif (la silice), elle va stimuler la synthèse de collagène et donc agir sur la réparation des tissus.

L’utilisation de cette plante aidera donc à la cicatrisation et à la régénération de la peau.

La prêle des champs : origines et utilisations ancestrales

Presque aussi âgée que les premiers dinosaures, cette plante ancestrale est une petite espèce végétale de 50 cm environ, de la famille des Equisetaceae. En phytothérapie, il faut savoir que ce sont ses petites tiges vertes, fraîches ou séchées, qui sont principalement utilisées.

Son utilisation est d’ailleurs presque aussi vieille que l’humanité elle-même ! Certains naturopathes évoquent une utilité depuis la préhistoire. En médecine ayurvédique, elle est connue depuis très longtemps notamment pour son action sur la sphère urinaire. Les indiens d’Amérique, quant à eux, l’utilisaient davantage pour ses fonctions articulaires – osseuses. Plus récemment à la renaissance, dans les pays occidentaux, c’est son-action anti-inflammatoire qui était la plus recherchée (notamment pour soigner les blessures ou les cicatrices).

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Le principe actif le plus intéressant de la prêle des champs reste la silice dont l’apport peut varier d’un produit à l’autre. Un gage de qualité est le dosage en silicium, généralement indiqué sur les étiquetages des produits les plus intéressants.

Dosages et études autour de la prêle et de son principe actif, la silice

Les autorités européennes indiquent que les préparations contenant de la prêle des champs peuvent être utilisées pour traiter naturellement les blessures superficielles. Ces conclusions sont fondées sur une utilisation de longue date de cet ingrédient car il y a encore peu d’études cliniques à ce sujet.

Nous pouvons néanmoins citer quelques éléments scientifiques intéressants :

  • Une étude (Kim EJ and al. (2013)), a montré des propriétés antioxydantes et anti-inflammatoires du silicium. Ils concluent que le silicium permettrait de supprimer la production de cytokines et de médiateurs inflammatoires.
  • Une seconde étude (italienne) a démontré une diminution des symptômes de psoriasis au niveau des ongles par l’utilisation de prêle.

Des chercheurs travaillent également sur de nouvelles molécules pour traiter les pathologies inflammatoires chroniques. Une étude de phase 2, réalisée en 2017, a montré que l’ibuprofène associé à du silicium nécessite des doses efficaces plus faibles, sans majoration des effets indésirables, par rapport à un ibuprofène seul.

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Innovation Novalturel

La nouveauté Novalcica est un complément alimentaire qui vous apporte 200 à 450 mg de prêle des champs (selon la posologie indiquée par votre thérapeute), dosé à 7%.

La silice apportée est sous forme organique, est un principe actif certifié permettant une meilleure assimilation par l’organisme par rapport à une forme minérale.

Contre-indications & effets indésirables éventuels

La prêle est déconseillée chez les enfants de moins de 12 ans. Les personnes qui ont des œdèmes provoqués par des maladies cardiaques ou rénales doivent demander un avis médical avant d’utiliser cette plante. Certains effets indésirables digestifs légers et cutanés ont été observés (boutons, dermatites allergiques…)

L’action diurétique de la prêle peut accentuer celle d’un diurétique de synthèse ou encore provoquer une élimination excessive de potassium, parfois incompatible avec certains traitements. Ne pas hésiter à demander conseil à votre thérapeute ou professionnel de santé en cas de doute.

Synthèse des études autour de la prêle + silice :

Ces actifs ont des propriétés intéressantes comme :

  • Une action antioxydante et anti-inflammatoire (silicium)
  • Une diminution des symptômes de psoriasis au niveau des ongles (prêle)
  • Traitement des pathologies inflammatoires chroniques (Ibuprofène + silice)

Sources des études :

Pérez DJ, Díaz-Reval MI, Obledo-Benicio F, Zakai UI, Gómez-Sandoval Z, Razo- 142 Hernández RS, et al. Silicon containing ibuprofen derivatives with antioxidant and antiinflammatory activities: An in vivo and in silico study. European Journal of Pharmacology. nov 2017;814:18‑27.

The Complete German Commission E Monographs – Therapeutic Guide to Herbal Medicines, American Botanical Council, US 1998

McCarty MF. Reported antiatherosclerotic activity of silicon may reflect increased endothelial synthesis of heparan sulfate proteoglycans. Med Hypotheses 1997;49:175–6.

European medicines agency : https://www.ema.europa.eu/en/medicines/herbal/equiseti-herba – 5 avril 2016

In Vitro Anti-inflammatory Effects of Equisetum arvense Are Not Solely Mediated by Silica

Carmen Steinborn, Olivier Potterat, Ulrich Meyer, Rainer Trittler, Sven Stadlbauer, Roman Huber, Carsten Gründemann – 2018 May